Dans mon billet La robe de mariée d'Isa se met en branle je vous montrais la base en coton jaune que j'ai fait pour me permettre d'ajuster les mesures du corps de ma cliente. Elle sert également à structurer la ligne désirée pour que la robe soit identique au croquis.
Tant qu'à la création du mannequin, c'est un petit luxe qui m'aide à diminuer de beaucoup le nombre d'essayage sur ma cliente.
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Alors maintenant, la vrai robe débute.
En doublure du corsage je commence par faire son corset avec le jupon à crinoline
Je croyais ma quantité de tulle suffisante pour donner une belle largeur au bas de la robe.
Hé bien non!
Par 2 reprises il m'a fallu ajouter des rangées supplémentaires.
Et croyez- moi, coudre de la tulle ... c'est tout un sport!
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La sous-jupe de soie verte avec ses 3 rangées de volants était l'étape suivante.
Chaque rangée de volant, en plus d'être froncée, a été doublée de tulle pour leur donner encore plus de volume.
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Pour le corsage, des fronces très serrées couvrent la poitrine.
Un volant étroit et du ruban satiné ajoute à la finition.
Au dos, une série de brides descendent jusque sous la taille.
Mais la belle a pris de l'ampleur!!!
Étendue de tout son long sur ma table de coupe, présentant ses formes généreuses,
mademoiselle ne se laisse pas manipuler facilement.
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À suivre ...
c'est un sacré boulot que tu as entrepris.
RépondreSupprimerhelene
Ce que l'histoire ne dit pas c'est le nombre de fois qu'il faut faire et défaire :-)))
RépondreSupprimermerci à toi de donner un aperçu de ce qu'est la vraie COUTURE
RépondreSupprimermoimamy